Conclusion
Arrivés au terme de cette recherche qui s’est voulue aussi précise que possible en regard des documents dont nous disposions et que nous avons pu exploiter, nous espérons que cette étude permettra à ceux qui nous feront l’honneur de la lire de mieux appréhender le très long « parcours » de l’instrument qui, aujourd’hui encore, demeure le serviteur de la musique tant religieuse que profane.
De nombreux organistes se sont succédés à cette tribune : Tous y demeurent indéfectiblement liés même si depuis longtemps ils ne sont plus…...Une question hélas sans réponse se pose : quel répertoire jouaient-ils ? Nous ne le saurons jamais mais peu importe ; ils ont donné le meilleur d’eux-même et par là ils ont mérité une place dans la mémoire des hommes.
Puisse l’orgue de Notre-Dame de Saint-Calais chanter toujours et pour la plus grande joie de ceux qui l’entendront l’harmonie et la sagesse de la musique au fil des années qui s’écouleront, tel est le souhait que l’on peut formuler pour l’avenir.
L'orgue avant sa restauration de 1974